Apophian - La prophétie des éléments III
Suite aux révélations faites par la Sorcière Trisha, Éthan se retrouve perdu et assailli de doutes. Lui qui a tant cherché à connaître ses origines et la vérité concernant ses parents, regrette à présent d’avoir entamé cette quête. Ses amis arriveront-ils à l’aider à s’accepter ? Malheureusement le temps presse, car les scellés qui retiennent le Démon vont bientôt céder. Les Gardiens devront alors être réunis pour vaincre Apophian et sauver les Deux Terres ou périr en condamnant tous les peuples. Mais reste une énigme épineuse : qui est le faux Gardien. Éthan doit rapidement retrouver Irina pour qu’elle lui indique où se trouve la stèle des dieux. Selon Trisha, cet artefact peut assister le jeune Ythérien à découvrir sa source, et, par la même occasion, à identifier l’imposteur. Pendant ce temps, à l’autre bout des Terres d’Antyras, Irina et les survivants d’Antalia ont trouvé refuge à Karagandha, la cité des Rockshriim. Mais l’entente avec le roi Rodrack ne s’avère pas évidente, tout oppose les deux dirigeants. À qui appartient cette voix qui torture sans cesse le pauvre Malak, anéanti par la mort de sa bien-aimée, en lui susurrant des mots utopiques et en lui promettant de ramener à la vie la douce Prisca. L’heure approche et, dans chaque camp, les forces se regroupent en vue de l’affrontement final, dont le dénouement n’est nullement écrit dans … La prophétie des éléments.
James Tollum est un auteur de fantasy né à Bordeaux en 1974. Sa passion pour la lecture l’a poussé dès l’âge de 18 ans à coucher sur le papier les personnages fantastiques qui peuplent son esprit. En 2010, il retrouve ses anciennes notes et reprend goût à l’écriture. Ainsi, naissent les aventures d’Éthan, Malak, Irina et bien d’autres. C’est en 2014 que paraît Gardiens, le premier tome de la trilogie La prophétie des éléments, qui rencontre déjà un franc succès auprès des lecteurs. L'auteur rédige dans un style précis et imagé qui fait partager au lecteur les aventures éperdues de ses héros et nous transporte avec fluidité dans son monde onirique. James Tollum maîtrise l'art de la description et n'est jamais ennuyeux. Il nous entraîne à un rythme effréné dans des mondes peuplés d'êtres plus étranges les uns que les autres, amicaux ou redoutables. Les personnages sont charismatiques et hauts en couleur. On soupçonne l’auteur d’avoir un faible pour les méchants de son roman qu'il dépeint à la perfection dans les moindres détails de leurs vices et de leur perversité.
