Araba
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Ce livre s’apparente à une vision grandiose telle que jamais encore la littérature de la science ni même de la science-fiction n’avait pu imaginer la possibilité de l’extermination de l’espère humaine sous cette forme. Dans cette vision profonde, presque exceptionnelle des phénomènes relatifs à la vie de la Terre et de celle de toutes les espèces vivantes que celle-ci a générées et contient comme ses enfants précieux, dont le genre humain, l’auteur de ce livre très singulier dévoile l’anéantissement de cette dernière espèce de vivants de la surface de la Terre au cours de ce millénaire.
Ce livre n’a rien à voir avec ses autres ouvrages philosophiques comme De l’impuissance du puissant… qui traite du même thème de l’extermination du genre humain. Il démontre que le mal de celui-ci tient au fait qu’il s’autodétruit. Mais ça, c’est son problème et celui de ses diverses composantes qu’on nomme peuples, farouchement opposés les uns aux autres en tâchant de s’anéantir mutuellement depuis des millénaires. Mais, il fait pire : il fait disparaitre aussi la vie des autres peuples de vivants sur la surface de la Terre, voire la Vie de la Terre elle-même sans laquelle, pourtant, il n’est absolument rien.
L’auteur de ce livre prouve aussi qu’avant la fin de ce millénaire en cours, des bouleversements majeurs dont le genre humain ignore les causes sous-jacentes et cachées, vont se produire sur la surface de la Terre. Parmi ces transformations inouïes figurent les mutations tératogéniques de toutes les espèces vivantes, hormis le genre humain. Mais il ne nous dévoile pas toutes les raisons de ce cas particulier. Donc, au regard de ce que ce dernier a fait à la vie de la Terre comme torts irréparables, tous les peuples de vivants devenus plus puissants que lui vont le soumettre à un ultime jugement : le jugement magistral de tous les vivants contre ses méfaits, sa cruauté pour tâcher de trouver une infime raison de miséricorde ; et le sauver. Hélas, ils n’ont rien trouvé de semblable. D’autant plus que l’âme de la Terre elle-même n’a trouvé aucune circonstance atténuante dans son mode de fonctionnement existentiel et ses actions contre la vie qui pourraient l’épargner d’une quelconque condamnation à mort.
Tout se passerait alors comme si la Prophétie multimillénaire des Anciens Égyptiens se réalisait. Celle-ci s’énonçait à peu près ainsi : à l’instar du soleil qui se lève à l’est et s’éclipse à l’horizon doré de l’ouest, le genre humain a surgi à l’est des terres émergées et s’éteindrait au coucher doré de l’occident.
En fait, ce livre, qui semblerait avoir été écrit sous la dictée d’entités intra ou extra-terrestres (selon l’auteur), se présente comme une prophétie qui fait appel à l’intelligence morale et au bon sens du genre humain pour l’inviter à prendre conscience de sa situation scabreuse en évitant d’empirer son sort en cours. Mais peut-il inverser l’ère de l’Anthropocène qu’il lui-même initié par le truchement de ses activités avides de richesses matérielles sans égard aucun du futur des générations de demain ? C’est-à-dire de ses propres enfants ? L’effondrement, dont il est l’unique auteur actif et volontaire peut-il être évité ? Saurait-il même entendre cette « prédiction » sur son futur prochain ?

Do
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1 / 1
Commentaire

« Vous êtes {genre de vivants dits humains}, donc, la cause directe de l’horrifique que vous avez bien provoqué. Car votre existence se passe toujours, du moins pour un grand nombre d’entre vous, sous l’empire de la conscience duonique. La preuve : vous êtes en train de préparer la répétition des tragédies, soit vos Guerres mondiales, du début du XXe siècle, sans vous rendre même compte de ce qui se déroule sous vos yeux. D’autant plus que vous ignorez que vous êtes en train de mettre le feu aux poudres par la résurgence des haines mutuelles, incapables de vous penser sous l’angle du genre humain et, ainsi, de coexister sous ce rapport. Or, que veulent les êtres humains en réalité ? Se rencontrer au cours de leur courte existence, s’aimer, procréer s’il y a lieu. Car ils sont confusément conscients que chacun de vous est un mourant-en-sursis. C’est une donnée inhérente à votre nature propre. Qu’importe la dictature ou l’obscurantisme de la couleur de l’épiderme. Mais au lieu de vous laisser bercer par ce paradis terrestre, vos cyniques parasites du corps des peuples ne rêvent que d’holocaustes.
Ainsi, votre genre de vivants ne pense et ne rêve toujours qu’à l’extermination des uns et des autres. En fait, au cours de ces heures sombres, votre conscience maligne, c’est-à-dire duonique glisse subrepticement vers la descente aux enfers du « narcissisme des nations » et sa cohorte de guerres atroces entre vous, membres du même genre d’une espèce vivante ».

Cette seule citation du livre, L’Horrifique du genre H…, traduit bien la préoccupation de l’auteur à penser l’Humanité sous l’angle du genre humain. La raison en est la suivante : si les Humains se pensaient en termes de membres différents d’une même espèce vivante, et non pas selon une branche particulière (Noirs, Jaunes, Cuivrés, Blancs, etc.) du tronc commun qu’est l’Humanité, sans doute, il n’y aurait pas de guerres entre les peuples, ni de haine entre les sujets humains.
Hélas, aussi loin qu’on remonte dans l’histoire des Humains jusqu'à nos jours, c’est toujours la même répétition de violences, de conflits, de guerres entre eux au nom de groupes d’hommes particuliers qui s’appellent peuples. Ceux-ci, aveuglés par leurs intérêts particuliers qu’ils défendent farouchement, oublient toujours qu’ils sont issus du même tronc commun d’un même genre de vivants qui s’appellent « humains » parmi tant d’autres vivants sur la surface de la terre.
C’est pourquoi, entre autres raisons de leur extermination par les tous les peuples d’animaux sur la surface de la terre, associés aux Éternats, Entités venues d’ailleurs, il reste une seule solution : l’anéantissement impitoyable et terrible du genre humain. Cette issue permettra à la Terre, Mère de tous les vivants, de respirer, enfin, la quiétude, la paix, la sérénité depuis près de 300000 ans, soit la date de l’émergence de l’espèce Homo sapiens sur la terre.

Dovanessa ZILLI
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L'auteur, Pierre Bamony, brillant philosophe, à travers son livre, nous dévoile un message alarmant.
Message qui lui est apparu dans un songe, ou plutôt un cauchemar "livré" par des entités.
Celui-ci considère chaque cerveau au service de l'univers. Il est capable de lire ses signes et messages. Il peut être compris dans ce livre comme le messager des mystères du monde et de la Vie terrestre ou extraterrestre.
La lecture est fluide, simple, accessible et le lecteur est transporté sans cesse d'univers paradisiaque à l'enfer, l'horreur, la violence de l'espèce humaine et ses massacres en tout genre.
Je perçois le message comme étant le suivant :
" Attention, la vie est en danger, toute forme de vie, pour toutes les espèces ".
Plus précisément, la prétention de l'homme, s'estimant supérieur comme une sorte de supra nature, nature qu'il pourrait contrôler notamment par la biochimie l’auteur de tous les désastres que nous connaissons aujourd’hui.
Inventif de nouveau, faisant fi des richesses de l'expérience ancestrale, l'espèce humaine, extermine la vie par cette bêtise.
L'auteur prend l'exemple amusant d'un couple : lui est biochimiste nommé "Cornichon", elle apprécie le confort de vie financier que lui apporte le métier de son mari.
La richesse de ce technoscientifique est alimentée part les dégâts de la biochimie qui détruisent la vie par amour de l'argent.
Pierre Bamony nous livre le message que si nous n'y prenons pas suffisamment garde, la fin du monde est imminente et que seul le respect de toute forme de vie peut encore nous sauver...

Dovanessa ZILLI
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L'auteur, Pierre Bamony, brillant philosophe, à travers son livre, nous dévoile un message alarmant.
Message qui lui est apparu dans un songe, ou plutôt un cauchemar "livré" par des entités.
Celui-ci considère chaque cerveau au service de l'univers. Il est capable de lire ses signes et messages. Il peut être compris dans ce livre comme le messager des mystères du monde et de la Vie terrestre ou extraterrestre.
La lecture est fluide, simple, accessible et le lecteur est transporté sans cesse d'univers paradisiaque à l'enfer, l'horreur, la violence de l'espèce humaine et ses massacres en tout genre.
Je perçois le message comme étant le suivant :
" Attention, la vie est en danger, toute forme de vie, pour toutes les espèces ".
Plus précisément, la prétention de l'homme, s'estimant supérieur comme une sorte de supra nature, nature qu'il pourrait contrôler notamment par la biochimie l’auteur de tous les désastres que nous connaissons aujourd’hui.
Inventif de nouveau, faisant fi des richesses de l'expérience ancestrale, l'espèce humaine, extermine la vie par cette bêtise.
L'auteur prend l'exemple amusant d'un couple : lui est biochimiste nommé "Cornichon", elle apprécie le confort de vie financier que lui apporte le métier de son mari.
La richesse de ce technoscientifique est alimentée part les dégâts de la biochimie qui détruisent la vie par amour de l'argent.
Pierre Bamony nous livre le message que si nous n'y prenons pas suffisamment garde, la fin du monde est imminente et que seul le respect de toute forme de vie peut encore nous sauver...

rose marie
4
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Commentaire

La lecture de ce livre, très étrange par rapport à la rationalité contemporaine, prouve que, jusqu’ici, rien de ce que nous pouvons découvrir sur les thématiques de la disparition de l’Humanité ne ressemble aucunement à cette vision ou à cette prédiction apocalyptique. Aussi sommes-nous tentés – c’est, du moins, mon cas après lecture de ce livre - de croire à la réalité effective et prédictive du songe de l’auteur, Pierre Bamony, sur la fin de l’Humanité. Celle-ci pourrait s’opérer par une extermination volontaire de tous les animaux et des extra-terrestres. C’est ce en quoi elle est extravagante parce que sa vision s’écarte totalement des normes reçues de la vie sociale, et même de nos habitudes de penser et de voir les choses.
Sinon, autrement, comment expliquer cette affaire énigmatique qui menace les descendants de l’Homo sapiens que nous sommes, voire de nos lointains descendants ? Il est vrai que le genre humain a fini par croire à sa supra-nature qui fait de lui comme un superbe dieu au milieu de toutes les autres espèces animales sur la terre. Depuis les débuts de la modernité, la science apparaît aujourd’hui, à chacun de nous, comme la fée qui va résoudre tous nos problèmes. Ainsi, nous lui accordons une foi presque aveugle en raison de ses succès dans les connaissances de la matière. Nous nous accrochons tellement à celle-ci que nous en devenons presque inconscients que c’est, après tout, une vision du monde et non pas la vision du monde. C’est pourquoi, par la science et surtout la techno-science, nous croyons et nous pensons que nous sommes au-dessus de tout, que nous sommes les maîtres du monde et que nous tenons le destin de la terre entre nos mains.
Désormais, avec ce livre de Pierre Bamony, nous saurons que nous ne savons pas tout grâce à ces voix mystérieuses qui ont parlé à son cerveau ; pire, que nous sommes des créatures de dimension et d’importance minimes, c’est-à-dire plus petites que les vermines et haïs par tous les peuples de vivants sur la terre. L’auteur considère, en effet, toutes les espèces animales, y compris le genre humain, sur le même pied d’égalité. En outre, nous possédons moins de science profonde que ces vivants que nous ignorons par mépris. En somme, le genre humain n’est rien : il n’est pas un dieu, mais une espèce de vivants parmi tant d’autres sur la terre.
Par ce livre, on a, ainsi, l’idée de la teneur de ce dévoilement sur la nature des phénomènes futurs ou ultimes (avant le terme de ce millénaire) : des vivants jugent une catégorie de vivants, le genre humain, et le condamnent à l’extermination. Une extermination qui s’opérerait suivant des modalités qu’on n’a jamais encore pu soupçonner à travers toutes nos sciences, quelles qu’elles soient. L’«auteur » - avec les « Éternats », ces entités venues d’ailleurs qui lui ont « dévoilé» le fond de l’univers - de cette vision effroyable, de cette prédiction terrifiante, ne saurait lui-même, à vrai dire, expliquer le sens de cette histoire, si on le lui demandait. Du moins, je le suppose.
Désormais et dès lors que chacun de nous, supposé descendant d’Homo sapiens, est concerné, pour prendre conscience de ce qui est en marche à travers nos réalités aveugles, chacun de nous devrait le découvrir par soi-même en lisant cette horreur qui ne s’explique pas, mais se découvre.
Quant à moi, lectrice de cet événement, je vous invite à y faire un plongeon vous-même pour vous faire une opinion juste. Peut-être, ouvrirons-nous les yeux, enfin, sur le massacre de la vie de la terre en la respectant davantage. Car que serons-nous sans elle ? Sans la terre qui nous a fait émerger à sa surface, qui nous porte et nous supporte encore, et sans laquelle nous ne sommes rien du tout. Ce sont de tels enseignements que je tire et que chacun peut apprendre de la lecture de ce livre.
Sans doute, de cette manière, ensemble nous pourrons mieux prendre soin des uns et des autres, au-delà de la dictature de l’épiderme et des croyances religieuses, limons de toutes nos divisions et de toutes nos guerres entre nous, membres du même genre humain ; et surtout des « peuples » d’animaux et de nos environnements vitaux.

Tukimo
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On se demande à la lecture de ce livre comment un tel ouvrage a pu trouver un éditeur puisqu'il n'obéit à aucune norme, aucun critère que nos éditeurs imposent aux auteurs qu'ils daignent publier. On se demande si ce que l'auteur appelle "la révélation des Eternats", n'est pas, au fond, une possible réalité.
Les auteurs qui parlent de la fin de l'Humanité laissent toujours une porte de sortie pour qu'elle puisse continuer à vivre et s'éprouver supérieure à tous les animaux. Mais, dans ce livre il n'y a ni supérieurs ni inférieurs par rapport aux humains. Car les autres animaux ont subit des mutations au cours des prochains siècles. À l'inverse, le genre humain ayant délégué toute son intelligence à ses machines (les robots ou ce que nous appelons l'intelligence artificielle) a perdu au change au cours des siècles à venir. Et leur impuissance, leur faiblesse vient de là. C'est pourquoi tous les peuples de vivants vont acquérir un ascendant sur nous. Ils nous appellent les "Vermoulus". Un dernier jugement impitoyable qui va les conduire à l'extermination de notre espèce. De prédateurs suprêmes nous deviendrons des proies faciles pour les animaux.
Peut-être que ce songe est révélateur d'une possible vérité future. De nos jours on peut se poser des questions sur la dureté des êtres humains pris dans les pièges de l'amour de l'argent.
Et oui, nous deviendrons des Vermoulus et nous perdrons si nous refusons d'écouter la voix de ceux qui cherchent à éveiller nos consciences par rapport à la mort de la terre et de l'espèce humaine.
Vive la mort qu'on appelle l'ARGENT !