La transmission est déclinée dans tous ses états grâce aux portraits d'hommes et de femmes que l'on aurait souhaité croiser ou pas mais qui ne laissent jamais indifférent tellement ils sont vrais. Touchée au coeur par Daniel et Maud ou par Madame Dubuffet, émue aux larmes par Lisa, adorablement amusée par le Gentleman, énervée par tous ces grippe-sous,
J'ai refermé le livre apaisée par la belle dernière nouvelle.
La transmission est déclinée dans tous ses états grâce aux portraits d'hommes et de femmes que l'on aurait souhaité croiser ou pas mais qui ne laissent jamais indifférent tellement ils sont vrais. Touchée au coeur par Daniel et Maud ou par Madame Dubuffet, émue aux larmes par Lisa, adorablement amusée par le Gentleman, énervée par tous ces grippe-sous,
J'ai refermé le livre apaisée par la belle dernière nouvelle.
Des portraits réalistes autour de la question de nos traces de vie. Question capitale pour certains, inexistante ou presque pour d'autres, l'auteur dépeint ses personnages parfois longuement à la Dermot Bolger, et soudain ces tranches de vie (la dernière ?) s'animent !
Comme pour les "Nouvelles Catalanes", Alexandre Manoukian nous invite à regarder des passages de vie avec son éclairage si particulier qui mets en relief, focalise. Mais dans "L'ombre de nos Traces", l'approche est différente, Alexandre Manoukian se penche sur cette odeur que nous laisserons de nos vies: Agréable? Lourde? Vite dissipée? A chacun sa trace.
On a l'impression de lire des tableaux des maîtres hollandais, tout est en nuance, suggéré, mais tout est présent, on voit au travers des personnages jusqu'à leur âme, parfois mesquines, parfois touchantes. Alexandre Manoukian sait peindre avec les mots. Un délice de lecture et d'esprit, une fois de plus. A ressentir absolument!
La transmission est déclinée dans tous ses états grâce aux portraits d'hommes et de femmes que l'on aurait souhaité croiser ou pas mais qui ne laissent jamais indifférent tellement ils sont vrais. Touchée au coeur par Daniel et Maud ou par Madame Dubuffet, émue aux larmes par Lisa, adorablement amusée par le Gentleman, énervée par tous ces grippe-sous,
J'ai refermé le livre apaisée par la belle dernière nouvelle.
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La transmission est déclinée dans tous ses états grâce aux portraits d'hommes et de femmes que l'on aurait souhaité croiser ou pas mais qui ne laissent jamais indifférent tellement ils sont vrais. Touchée au coeur par Daniel et Maud ou par Madame Dubuffet, émue aux larmes par Lisa, adorablement amusée par le Gentleman, énervée par tous ces grippe-sous,
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Des portraits réalistes autour de la question de nos traces de vie. Question capitale pour certains, inexistante ou presque pour d'autres, l'auteur dépeint ses personnages parfois longuement à la Dermot Bolger, et soudain ces tranches de vie (la dernière ?) s'animent !
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Comme pour les "Nouvelles Catalanes", Alexandre Manoukian nous invite à regarder des passages de vie avec son éclairage si particulier qui mets en relief, focalise. Mais dans "L'ombre de nos Traces", l'approche est différente, Alexandre Manoukian se penche sur cette odeur que nous laisserons de nos vies: Agréable? Lourde? Vite dissipée? A chacun sa trace.
On a l'impression de lire des tableaux des maîtres hollandais, tout est en nuance, suggéré, mais tout est présent, on voit au travers des personnages jusqu'à leur âme, parfois mesquines, parfois touchantes. Alexandre Manoukian sait peindre avec les mots. Un délice de lecture et d'esprit, une fois de plus. A ressentir absolument!
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