Coudre et recoudre ce monde qui se défait à vitesse grand V
Un recueil de poèmes et de proses en vis-à-vis
La poésie n’est ni un rêve ni un luxe.
Dans un monde lourd, bruyant, où résonnent les braiements des ânes, elle est une voix discrète, légère, mouvante — une persévérance. « Chaque jour un poème », comme un exercice spirituel, un geste artisanal, une couture invisible qui maintient debout ce qui menace de se défaire.
Trente poèmes, trente proses.
Trente fois, le poème et sa prose se font face, se répondent, se contredisent ou s’éclairent. L’un vertical, l’autre horizontal ; l’un incantatoire, l’autre terre-à-terre ; l’un vers l’émerveillement, l’autre vers le geste qui crisse, déchire, recompose. « Les poèmes ne tombent pas du ciel, ils se font par essais successifs » — et c’est cette tension entre l’élan et le labeur, entre l’indicible et la page déchirée, que ce recueil explore.
Pourquoi ce livre ?
Parce que la poésie, loin des doux rêveurs qui la desservent, est un outil. Un outil pour « maintenir la persévérance d’une voix », pour « coudre et recoudre » ce qui se défait. Un outil dédié « aux enfants et aux raffinés », à ceux qui savent que la légèreté est une force, et que chaque mot est un point de suture.
Coudre et recoudre ce monde qui se défait à vitesse grand V
Un recueil de poèmes et de proses en vis-à-vis
La poésie n’est ni un rêve ni un luxe.
Dans un monde lourd, bruyant, où résonnent les braiements des ânes, elle est une voix discrète, légère, mouvante — une persévérance. « Chaque jour un poème », comme un exercice spirituel, un geste artisanal, une couture invisible qui maintient debout ce qui menace de se défaire.
Trente poèmes, trente proses.
Trente fois, le poème et sa prose se font face, se répondent, se contredisent ou s’éclairent. L’un vertical, l’autre horizontal ; l’un incantatoire, l’autre terre-à-terre ; l’un vers l’émerveillement, l’autre vers le geste qui crisse, déchire, recompose. « Les poèmes ne tombent pas du ciel, ils se font par essais successifs » — et c’est cette tension entre l’élan et le labeur, entre l’indicible et la page déchirée, que ce recueil explore.
Pourquoi ce livre ?
Parce que la poésie, loin des doux rêveurs qui la desservent, est un outil. Un outil pour « maintenir la persévérance d’une voix », pour « coudre et recoudre » ce qui se défait. Un outil dédié « aux enfants et aux raffinés », à ceux qui savent que la légèreté est une force, et que chaque mot est un point de suture.
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