J'ai découvert cet auteur qui porte le même nom qu'un écrivain que j'adore, Alexandre Vialatte, auteur des fruits du Congo.
Eh bien un Vialatte peut en cacher un autre car Michel n'a rien à envier à Alexandre. Son recueil de nouvelles Au ciel comme en terre, paru il y a un an, est un petit chef d'œuvre de littérature. La langue de Vialatte est belle, classique, riche, mais il est aussi capable, dans la nouvelle Philistin tête de chien de recourir à une langue colorée au verbe décapant issu des territoires de banlieue françaises. Cette dizaine de courtes histoires sont pour certaines époustouflantes de densité dramatique, d'autres nous plongent au cœur de la rude vie rurale de la plaine du Haouz, près de Marrakech. Le 1er des récits nous emmène sur les quais de Seine à Paris, auprès d'un passionné de bonsaïs dont le destin nous émeut. Un livre superbe.
J'ai découvert cet auteur qui porte le même nom qu'un écrivain que j'adore, Alexandre Vialatte, auteur des fruits du Congo.
Eh bien un Vialatte peut en cacher un autre car Michel n'a rien à envier à Alexandre. Son recueil de nouvelles Au ciel comme en terre, paru il y a un an, est un petit chef d'œuvre de littérature. La langue de Vialatte est belle, classique, riche, mais il est aussi capable, dans la nouvelle Philistin tête de chien de recourir à une langue colorée au verbe décapant issu des territoires de banlieue françaises. Cette dizaine de courtes histoires sont pour certaines époustouflantes de densité dramatique, d'autres nous plongent au cœur de la rude vie rurale de la plaine du Haouz, près de Marrakech. Le 1er des récits nous emmène sur les quais de Seine à Paris, auprès d'un passionné de bonsaïs dont le destin nous émeut. Un livre superbe.
Signalement
J'avais oublié de mentionner ma note pour ce livre. C'est 5/5.
Signalement