
Gouvernance participative à la sécurité avec les femmes au Burkina Faso - 1ères Journées scientifiques de l’Académie de police
Au Burkina Faso, la participation des femmes aux activités de sécurité et de défense remonte à une période reculée. Sous la Révolution démocratique et populaire (RDP) (1983-1987), elle a connu sa période faste, avant de décliner. À partir de 2006, l’État va la relancer. Des projets sont alors engagés dans ce sens, avec un succès mitigé, jusqu’à la Réforme du Secteur de Sécurité (RSS). Dans les orientations, elle donne un nouveau souffle au processus d’inclusion et renforce l’implémentation de la Résolution 1325 des Nations Unies. Cette synergie dessine l’architecture de la nouvelle dynamique de leur participation. Mais celle-ci doit compter avec des écueils qui entravent la volonté politique. L’étude tente de poser un regard critique sur cette dynamique de participation pour comprendre ses forces et faiblesses. Elle propose ensuite des solutions pour contourner les écueils et renforcer la dynamique.
Ousmane Djiguemde est cadre supérieur de l’administration publique burkinabè et auteur spécialisé en management public. Il a été Membre du comité d’élaboration de la politique nationale de sécurité (PNS) et Rapporteur du comité ad hoc sur l’élaboration du plan d’urgence de lutte contre le terrorisme (2019-2020). Il est actuel directeur des études et du partenariat de Faso Tourisme au Burkina Faso.
Très belle œuvre.... Il faut surtout saluer la pertinence et l'actualité du thème. Bravo à M. DJIGUEMDE
Signalement
Très belle œuvre.... Il faut surtout saluer la pertinence et l'actualité du thème. Bravo à M. DJIGUEMDE
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