Les fées du désert

Bien qu’étant amant de sa terre dotée d’une prégnance facteur de la convoitise des autres peuples qui viennent piller autant qu’ils pouvaient, le poète ne veut garder aucun silence en faveur de ces dirigeants assoiffés du pouvoir et vendeur de la mèche de leur développement à impérialiste contre de l’argent. Ces dirigeants qui le sont seulement du nom puisque n’ayant aucune politique de sauvetage de ces nombreux enfants de rue, de ces déscolarisés, de ces jeunes gradés de plusieurs diplômes rangés dans des placards et gisant dans la piscine du chômage. Il ne manque ainsi, de jeter de la fleur à ceux qui apparaissent comme des messies même si le prince charmant n’est pas du monde. Sans aucune faveur, il ne manque de lancer un appel à l’impérialiste qui est à l’image d’un père donateur de cadeaux d’indépendance mais ne cesse de s’ingérer dans la gestion politique et économique de ces pays bénéficiers qui continuent depuis et toujours de tendre les mains pour quémander.

Passant du sévère au doux, la deuxième partie de cet ouvrage exhibe les valeurs intrinsèques et extrinsèques de la chose femelle, en la concevant comme raison et source de notre existence, tout en chantant l’amour et les merveilles de la nature.