La Dame de Pique
Des crimes sinistres endeuillent Marseille. Trois femmes ont été retrouvées sauvagement égorgées. Près des cadavres, le tueur a laissé sa marque : une rose rouge, et une carte à jouer, la Dame de pique. Le commissaire Molina est chargé de l’enquête. Doté d’une remarquable intuition dissimulée sous un aspect débonnaire, il devra affronter simultanément les fantômes du passé et la terreur du présent. Egaré entre la complicité d’un flic « ripou », la solidarité du « milieu » Marseillais et les secrets familiaux, le fil de l’enquête doit être démêlé pour apaiser enfin la lourde machine judiciaire dont les rouages sont près d’exploser sous la pression des médias. Pas à pas, un minutieux travail d’enquête conduira Molina vers la vérité. Il devra faire face sans faillir à de multiples rebondissements, jusque-là restés mystérieusement obscurs, et qui soudain, se bousculent en pleine lumière, jouant habilement des protagonistes et des circonstances. Sous le soleil de la cité Phocéenne, au milieu d’une population à l’accent chantant, du stade Vélodrome à Notre-Dame de la Garde, en passant par la Canebière, l’insoutenable, l’atroce vérité assombrira le ciel bleu de Provence.
J’ai 37 ans, et je suis née à Marseille, où je vis toujours. Maman de deux jeunes enfants, j’ai publié mon premier roman, l’Ombre du Soleil, en 2006, en remportant le Prix du Quai des Orfèvres. J’ai ensuite été publiée par les éditions THOT avec un second polar, « 2vin ki G tué ». Enfin, j’ai eu récemment le privilège de participer jusqu’au bout à la première téléréalité littéraire, l’Académie Balzac, organisée par les Editions du Net. Depuis mon plus jeune âge, je me suis révélée une incontestable littéraire. J’ai toujours aimé écrire : des nouvelles, des poèmes, des chansons, et enfin des romans. Ayant hérité de mon grand-père le goût de la plume, l’écriture est pour moi un exutoire précieux, autant en émotions qu’en connaissances. L’objectif étant de prendre mes lecteurs « aux tripes » et de leur donner en lisant mes lignes, un plaisir identique à celui que j’ai éprouvé en les écrivant…