Pour un dernier regard…
À travers deux destins croisés de Femmes, l’auteure nous révèle quelques-uns des souvenirs qui ont profondément marqués sa vie.
On retrouvera, dans le personnage d’Amélie que nous avions suivie dans son précédent roman « Et les vagues dansaient », ses principaux traits de caractère : son besoin d’agir, de créer, de donner.
En parallèle, Kath racontera la petite fille joyeuse et insouciante que la guerre a abimée. Son besoin de toujours se relever, de ne jamais se retourner pour oublier ce passé qui l’a blessée.
Le roman se terminera sur une marque d’espoir et de confiance, adressée à tous mais plus particulièrement à la jeunesse et que lui avait enseigné son Père.
« Pour réussir, il faut d’abord essayer et surtout croire en soi ! »
Catherine Séguin-Derivière est née en mars 1951 en Algérie. Après une petite enfance heureuse sur les hauteurs d’Alger, sa famille s’installera en Région Parisienne, près du bois de Vincennes.
Mariée depuis cinquante ans, maman de deux filles, Sabine et Caroline, elle n’eut de cesse dans sa vie d’enseignante d’apprendre à ses élèves, outre les fondamentaux de l’école primaire, la tolérance et le respect entre les hommes.
Elle vit aujourd’hui en Occitanie, entre le Lot et Toulouse. Elle se consacre à ses passions : la peinture et l’écriture en profitant au maximum de ses six petits-enfants.
Le cliché de couverture est une photo de l’auteure prise sur les quais du port d’Alger en 1955.
