Les lettres de mon figuier
Tout a commencé par une lettre anonyme… En bonne et due forme, majuscules, pas signée, pas d’adresse. Un indice cependant : cette lettre avait été postée d’un village dans le sud de la France. En suivant son instinct, Sandrine a aussitôt répondu à la personne qu’elle suspectait. Il n’y eut pas de réponse. Déçue, frustrée, elle entama un échange épistolaire avec Sophie dont les extraits publiés sur le blog http://jochaud.com/ et sur Facebook ont déclenché des réactions. Des messages et des lettres ont suivi, venus po ur certains d’aussi loin que l’Angleterre ou l’Algérie. De rencontres virtuelles en rencontres réelles, un petit monde s’est mis à tourner tout autour d'elles, un cosmos emplis d’étoiles rendues éternelles par les mots écrits.
Les pieds dans la Méditerranée, la tête en Alsace, l'esprit en vadrouille et le coeur en vrac, Sandrine Jochaud ne s'est jamais vraiment posée. Cette baby-boomer bavarde et incrédule enseigne dans l'est de la France le français aux migrants et cultive son verger d'oliviers en Provence. Auteure d'un premier roman, Sang indigo, auto édité en 2010 chez The Book Edition, elle vient d'achever un deuxième roman dont l'intrigue se déroule en Algérie. Des extraits de ses romans ainsi que des nouvelles et récits inédits sont à lire gratuitement sur son blog jochaud.com