Par ici la monnaie !
Voilà un premier roman qui risque de faire date dans les annales de la comédie dramatique ! L’action se situe en 2002. Cette année-là, a lieu la vente de la pièce de monnaie la plus chère au monde ; ce qui va susciter bien des convoitises… Si l’anecdote est authentique - et vérifiable ! -, les conséquences qui en découlent vont entraîner dans son sillage une flopée de personnages dont les intérêts particuliers ne cessent d’entrer en conflit. Le personnage central, notamment, se révèle être d’une naïveté confondante face au machiavélisme ambiant. Et même s’il s’active à qui mieux mieux pour s’intégrer dans ce monde, il peine à trouver sa place dans cet univers frelaté. Le style est enlevé… le récit, facétieux et plein de truculences, foisonne de scènes comiques, voire cocasses… parfois même, à la limite du burlesque. Curieusement, elles sont disséminées à travers une intrigue policière parsemée d’instants dramatiques qui raviront tous les amateurs d’histoires rocambolesques !… Si vous avez envie de passer un fichu bon moment de lecture, cette histoire comblera sans nul doute vos attentes.
Né à Paris le 11 novembre 57, Georges Martinet est ce qu’il convient d’appeler un autodidacte de l’écriture. Sans jamais perdre de vue son rêve d’écrire un jour un roman, il a longtemps erré dans des boulots alimentaires, juste pour faire bouillir la marmite… Années fructueuses passées à observer ses contemporains ; années formatrices aussi, expérimentant sans relâche et cherchant un ton, une couleur…, bref, sa voie. Désormais possesseur d’un style bien à lui, Georges Martinet jette sur le monde et les gens qui y vivent son regard d’éternel gamin facétieux. Perpétuellement à l’affût des travers de ses contemporains, il traque toutes les contradictions de la nature humaine sans se départir d’un humour cocasse. Le secret de son écriture réside dans cette alchimie où le burlesque des mots côtoie en permanence la tragédie bouffonne !