De si bons voisins
Il s’agit là de la petite histoire de deux familles campagnardes dont une maudite piste fera, et pour longtemps, de mauvais voisins. De très chers ennemis, surtout.
À travers les bouts de vécu de ces deux clans, c’est aussi le survol d’une époque des plus troubles que connut le pays et la région de ces anti héros.
Un désagréable voisinage dont pas même la haine et la mort n’ont su étouffer les braises. L’amour, par ses douces flammes, finira-t-il par venir à bout de ses faux différents ?
Tout semblait aller pour le mieux, mais c’était sans compter avec les bienfaits du progrès et de la civilisation.
Le ton badin et le registre populaire du récit rappellent un peu la halka et les contes des temps anciens.
Mimoun Ayer, Algérien né à Oujda (Maroc), est un ingénieur agronome et financier de formation. Il habite en rase campagne, à 15 km de Maghnia (Algérie) où il a toujours vécu et travaillé.
La retraite prématurée et pas trop dorée, s’il ne glande pas, le fringant sexagénaire est en train d’écrire ou de peindre.
