Rien ne se perd
Barère de Vieuzac, le 1er août 1793 déclare à la Convention : « La race rebelle sera exterminée, la Vendée détruite ». A l'auteur de se demander si derrière tous ces mouvements et événements, le crime monstrueux des colonnes infernales peut être assimilé à un crime contre l’humanité car il cible une « race », une région, et parle de destruction et d’extermination ?
L’auteur est né dans le sud-est du Maine et Loire, à Montreuil-Bellay. Il est passionné par l’histoire de la période révolutionnaire et des guerres de l’ouest, que l’on appelle les guerres de Vendée. Depuis de nombreuses années il travaille sur la généalogie de sa famille maternelle rescapée des sinistres besognes des colonnes infernales. Il s’interroge sur les événements, sur le silence qui les entoure, sur les manipulations de l’histoire commises par bon nombre d’hommes influents et tente de redonner une vérité à certains faits. A son tour de défendre une cause qui n’est pas perdue, car rien ne se perd.
