
Une verveine pour tout le monde
La ville de Grenoble, au sud le Trièves, la commune drômoise de Lus La Croix-Haute, les paysages du Dévoluy aux confins des Hautes-Alpes et un peu de Vercors Sud sont les écrins de ce roman.
Au travers d’une histoire dont le socle est un lien puissant entre deux sœurs, adolescentes inséparables au début des années quatre-vingt-dix, ce roman explore l’évolution fusionnelle de personnalités antagonistes, Aude la cadette et Marie son aînée. À chacune sa façon d’aimer l’autre, la force d’un sentiment ne se déclinant pas toujours avec la bienveillance espérée.
Comment progresser dans un univers instable ? Pourquoi ne pas céder à la facilité ? La puissance de la nature et le poids des sentiments contribueront peut-être à cette difficile reprise en main.
Ce polar rural, qui est aussi une histoire d’amour et de pouvoir, s’achève fin 1993.
Dans l’imaginaire de l’auteur, il est le premier tome d’une saga sur le thème de l’emprise.
Marie Schouler, géomètre de métier, s’est investie dans sa ville d’adoption au sud de Grenoble sous son nom d’épouse, Marie Anne Parrot. Elle écrit et met en scène des pièces de théâtre depuis l’an 2000 en façonnant des personnages et en construisant ses histoires dans des univers différents au fil des années, drôles ou tragiques, historiques ou irréelles, policières ou polissonnes, réalistes ou dystopiques.
L’auteure aime la nature, la lecture, les grands arbres et les gens bons.
« Une verveine pour tout le monde » est son premier roman.