
Heureux mais avec peu de choses - Les vestiges d’une belle vie oubliée
Le bonheur, notion complexe et subjective, a sou-vent été associé à la possession de biens matériels et à l’abondance de richesses. Pourtant, cette vision peut être trompeuse. Dans notre société de con-sommation, il est facile d’oublier que le bonheur ne réside pas uniquement dans les objets que nous possédons ou dans la somme d’argent sur notre compte en banque.
D’une part, il est indéniable que l’argent peut con-tribuer à notre bien-être. Il peut nous offrir des commodités, la sécurité et des expériences enrichis-santes. Voyager, se divertir ou accéder à des soins médicaux de qualité sont des aspects de la vie que l’argent peut faciliter. Avoir suffisamment de res-sources pour subvenir à ses besoins fondamentaux - nourriture, logement, éducation - est essentiel pour une existence sereine. Mais au-delà de cette nécessité matérielle, se pose une question cruciale : les richesses peuvent-elles vraiment acheter le bonheur ?
Guy Aurélien Biantsissila, écrivain qualifié, auteur de plusieurs livres. Il est lecteur au comité des éditions lys bleu et formateur d’écrivain public.
Fondateur de l’association Genèse et responsable GAB Masterclass, ces deux entités mutualisent pour la création du complexité littéraire, où il y aura un institut des métiers du livre et une édition pour tous les âges.