Le Cartel des Visas - Tome I – La guerre d’usure
Plus de 422 000 Français vivent au Maroc sans visa. Les Marocains, eux, font la queue.
Leïla, consultante en data, découvre que cette injustice est une arme de guerre économique. Un système qui rapporte des milliards en humiliant tout un peuple. Ses investigations la mènent à un document secret: le lien entre les visas refusés et des accords sur le Sahara. La machine à broyer les rêves est aussi une machine à influencer la diplomatie. Traquée, elle plonge dans les entrailles d’un conflit où l’ennemi n’a pas de visage, mais un tampon.
Dans la lignée de John le Carré, un premier roman explosif qui révèle la plus grande arnaque géopolitique du siècle: l’humiliation comme business.
« Je n’écris pas pour divertir. J’écris pour que la prochaine génération n’ait plus jamais à supplier pour un visa. »
Née sous le soleil marocain, Mereym Saga a reçu sa gifle diplomatique en 2021 quand l’Élysée a sanctionné Maroc, Algérie et Tunisie par des restrictions de visas. Le message était clair: « Vous êtes des sujets, pas des partenaires ».
Elle a compris ce jour-là que le visa n’est pas un simple bout de papier : c’est un fusil braqué sur tout un continent.
De ce choc est née une saga en cinq tomes, un parcours initiatique inspiré de faits réels, où thriller, enquête et géopolitique s’entrelacent pour dévoiler la mécanique d’un système impitoyable et les vies qu’il broie.
Le Cartel des Visas, premier tome, mêle fiction et réalité vécue par des millions d’Africains: un roman qui expose, révèle et donne enfin voix à ceux que l’histoire officielle ignore.
Je ne m’attendais pas à une telle claque. Le Cartel des Visas m’a fait traverser toutes les émotions : la colère, la honte, la fascination. On entre dans l’histoire en pensant lire un simple thriller politique, et on en ressort avec une compréhension nouvelle des rapports entre la France, le Maroc et l’Algérie.
Ce livre m’a ouvert les yeux sur des réalités qu’on n’entend jamais dans nos médias. L’écriture est forte, incarnée, presque cinématographique. Rien n’est gratuit : chaque scène fait sens, chaque mot pèse.
C’est un roman nécessaire, courageux, qui interroge nos privilèges et notre mémoire collective. À lire d’urgence …surtout en France.
Signalement
J’ai lu Le Cartel des Visas d’une traite. Ce roman m’a marqué parce qu’il met des mots sur ce qu’on vit depuis des années, mais que personne n’ose vraiment expliquer.
L’auteure a une vision claire, courageuse, et une plume qui touche juste.
Ce n’est pas un simple livre, c’est une réflexion sur la dignité, la justice et le rapport entre deux peuples liés par une histoire complexe.
Respect pour ce travail.
Signalement
Tellement fort ! J’ai appris énormément sur les politiques visas Schengen, l’histoire coloniale et tout ce qu’on nous cache.
Franchement, ce livre devrait être étudié à l’école. 🙌
Signalement