L'incendie de Notre-Dame de Paris - Crime ou accident ?

L’abondance des témoignages d’experts en bois et charpente ou de haut responsables de l’entretien de la cathédrale ; celui des pompiers; les erreurs et insuffisances des mesures de protection anti-incendie; les images des charpentes incomplètement brûlées après un incendie; la vitesse de propagation du sinistre; l’intensité des flammes du brasier; la chaleur dégagée; l’existence d’un catalyseur, sa composition chimique; la température des allumettes incendiaires; les propos de certains journalistes n’ayant aucune formation scientifique; la tentative préalable avortée de détruire Notre-Dame de Paris a` l’aide de bonbonnes de gaz; l’étrange aveu du procureur de la république sur l’origine accidentelle alors que l’incendie n’était pas tout a` fait maitrise´; le refus de la secrétaire de la société Aubriat de me permettre de rencontrer son patron; la déclaration d’une société concurrente de traitement des bois et ses sous-entendus; tout indique de façon irréfutable que ce sinistre est d’origine criminelle. Certes, dans l’état actuel de ce que l’enquête officielle a mis a` jour, le silence étourdissant des enquêteurs sur les possibles preuves (inconnues car non publiées depuis 6 ans), on ne peut que préjuger de l’origine de ce sinistre. Cette hypothèse repose donc sur des présomptions. Selon l’article 1353 du code civil, ces présomptions irréfragables deviennent des preuves et font office de vérité.