La saga de la valse des infidèles
De l’autre côté, où mes pas me traînaient, le fleuve était calme. Les quelques piroguiers qui flottaient avec leurs filets s’éteignaient au loin, au revers de quelques rochers dressés devant moi. Peu de temps après, une bande de canards sauvages se levaient avec leurs longues ailes, faisant gicler l’eau et donnant un rythme particulier. Ces canards sont suivis aux seconds près par des pique-bœufs qui jalonnaient le bord du fleuve, puis après, plus rien.
C’est à ces notes sur les vagues de l’incertitude de la jeunesse que la leçon de vie se comprend et se vit : une leçon « à la débauche quoi ! »
Auteur de deux livres d’intérêt scientifique « Le modèle de pensée face aux processus du changement : de l’individu au social » et « L’ordonnancement de la culture d’entreprise, une prescription possible », Wendgoudi Appolinaire Beyi s’intéresse à l’œuvre romanesque et se plait à user et abuser des jeux de mots pour décrire la société, souvent avec des clous de conscience. Dans ce sens, on aura aussi deux romans accessibles : « Mes errements » et « La saga de la valse des infidèles ».
Ailleurs il raconte les faits. Il raconte la vie.
Il a une formation de base en psychologie sanctionné d’une maîtrise, un DEA en communication, un Master 2 en management et un diplôme de Conseiller en GRH.
Et dans ses romans qui ont été écrit sur fond de sa jeunesse l’un en 1996 et l’autre en 2007 ont déjà bénéficié d’un cadrage profond en investissement du fond fantasmatique de l’humain. Ses actes manqués et ses espoirs hypothétiques...
