
Suffit-il donc que tu paraisses
Vincent est mourant dans un centre de soins palliatifs. Il espère une dernière visite qui devrait permettre à son corps de partir enfin. Lors de ce qu’il croit être son ultime nuit, il voyage dans ses souvenirs qui remontent à la surface au gré de sa mémoire, mélangeant évocations professionnelles et les réminiscences de son grand amour, dans une symphonie où l’amitié entre en résonance avec son mal, et ses expériences passées avec la réalité de l’hôpital.
La visite tant souhaitée arrive enfin. Vincent se voit alors accompagner vers une fin à laquelle il ne s’attendait pas.
Le roman associe réflexions sur la mort et sur notre société moderne, sur l’amour et l’amitié, sur la faiblesse et la vanité de l’homme, mais aussi sur le bonheur apporté par l’attachement entre deux êtres qui peut transcender toutes les faiblesses de la nature humaine.
À 67 ans, Gérard est un jeune retraité de l’industrie aérospatiale. Il y fait encore un peu de consulting en tant qu’autoentrepreneur. Passionné de littérature, il consacre son temps libre à l’écriture de romans de fiction, explorant les différents genres, du thriller au roman psychologique. Il a déjà publié 12 romans et un livre de poèmes qui sont tous présentés sur son site Internet : https://gerardmuller.wordpress.com/
Poète à ses heures, il anime un atelier littéraire consacré à l’écriture romanesque (atelier Philémon à Toulouse). Il s’essaie en outre à l’art de la nouvelle et à l’écriture théâtrale.
Gérard a gagné le Grand Prix Roussillonnais des écrivains en 2015 et le Grand Prix spécial de la Société des Poètes et Artistes de France en 2016.