
Le cadavre du chat
Si Anton Pilarz est présenté comme le meilleur et, par conséquent, le plus cher des enquêteurs privés de Stockholm, il en est également le plus renommé des coureurs de jupon ! « Un chaud lapin responsable à lui seul du déclin actuel de la banquise des mers scandinaves ! » ira jusqu’à soutenir quelque groupuscule ultra féministe du pays.
Aussi, lorsqu’une jeune femme aussi belle qu’il soit possible de l’être le sollicite pour faire la lumière sur la disparition de quelques animaux au nord de la capitale, Anton se voit bien incapable de refuser.
Il est alors à mille lieues d’imaginer le caractère pernicieusement saugrenu du cauchemar dans lequel il vient de s’embarquer.
Mario Mahcer est né au 20ème siècle. Après plusieurs pièces de théâtre, il publie, en 2016, aux Éditions du Net, un court roman intitulé « Et Dieu créa la poule ».
Il revient cette fois-ci avec un ouvrage au titre aussi émoustillant qu’une souris verte trempée dans l’huile, « Le cadavre du chat ».