De vaccins douteux en variants vicieux, l'adieu piteux aux « jours heureux » ? - Tome 2 : Juillet 2020-juillet 2021
Une suite à la « Chronique égocentrique d’un vieux gugusse épargné par le virus », publiée à l’été 2020, s’imposait-elle ? Pas fatalement… Mais rien n’est plus frustrant pour un « résistant » que de ne pas raconter sa guerre. Surtout s’il croit l’avoir gagnée. Au sortir du 1er confinement je considérais en effet qu’Emmanuel Macron s’était adressé à moi seul quand il s’était félicité « d’une première victoire sur le virus » ! Nous étions alors à la mi-2020 et « la vie d’après » s’annonçait radieuse… Impardonnable naïveté ! Le relâchement redouté par les autorités s’est vite produit malgré les campagnes de prévention. Et ce laxisme contagieux a logiquement incité le Coronavirus à prendre ses quartiers d’été. Avec les funestes conséquences que l’on sait : répétition des confinements, instauration des couvre-feux, saturation des hôpitaux et augmentation vertigineuse des décès !
L’arrivée des vaccins, début 2021, apporta une lueur d’espoir. Mais n’empêcha pas les contagions de flamber alors que nous pensions le virus à son terminus. D’où l’obligation d’ajouter à ma « Chronique » un second tome pour la période juillet 2020-juillet 2021. En me gardant bien de prédire, au vu de la « quatrième vague » amorcée, qu’il serait le dernier…
L’auteur qui se « masque » sous le pseudonyme d’Enrico Rhôna n’a pas accru son savoir médical depuis le début de la pandémie ! Il se distingue, par cette ignorance assumée, de tous les cuistres devenus au fil des mois plus chevronnés que les meilleurs scientifiques. En marge de la version officielle de la tragédie il persiste donc à porter le regard candide d’un retraité « astrazénéqué » sur cette période effroyable afin que les lecteurs puissent s’en remémorer les faits et les méfaits, les statistiques approximatives comme les déclarations fluctuantes. Son « journal viral » alterne ainsi entre compassion et exaspération. Sans oublier un zeste d’autodérision…
