Oraison châtiée et délices d'un dernier poème

L’œuvre quitte la terre avide de la terne espérance, pour revoir les doux cieux jusque dans la dernière prairie du paradis rêveur, dans lequel elle pourrait mourrir joyeuse. Elle ne retarde pas sa marche, elle n’accole non plus pas les montagnes et les rochers, mais au milieu du jeune temps, elle confectionne les atouts de la vigueur de l’été, s’asseyant sur des neiges fondues et amassées par le tout dernier vent, qui fit un déluge que survolent quelques pluies torrentielles.

Oraison châtiée et délices d’un dernier poème, un feu scintillant pour le monde poétique ; de la part des autres, je pense que si leurs soins à eux apporteront leur aide considérable pour donner quelque brillance à ce nouvel éclat, des bonheurs leur seront cédés ouvertement et modestement.