
Il était une fois la liberté
Le vingtième siècle a été amorcé par une grande guerre sans précédente, et qui a touché toute la planète. C’était la Première Guerre mondiale. Cette guerre n’a rien à voir avec les précédentes. Elle annonce le début d’un nouveau siècle, mais aussi l’ère des guerres apocalyptiques. L’ère où la machine a remplacer l’homme dans la construction et la destruction.
C’est aussi une nouvelle guerre, car les hommes se battent et s’entretuent, sur la terre dans les mers, dans le ciel et sous les eaux des océans.
Kadi, qui est mobilisé de force, vient d’un pays colonisé par une puissance étrangère, il découvre, alors, pour la première fois l’évolution des hommes dans le domaine de la destruction et de la terreur.
Mobilisé, parmi tant d’autres, dans une guerre pour la liberté de la France qui ne reconnait pas la sienne, il découvre la cruauté de la guerre et l’hypocrisie des politiques, mais surtout les raisons du retard de sa nation sur le monde qu’il vient de découvrir.
« Il était une fois la liberté » est le cinquième ouvrage de l’auteur. Ahmed Ouhala, qui a déjà publié quatre ouvrages, dont deux essais ; « La malédiction de l’or noir » en 2014 et « La Permaculture, le sentier vert » en 2015, et deux romans ; « La Rouquine du désert » publié en 2017 et « Sur la voie des ancêtres » qui était nominé pour le prix du meilleur roman pour la sixième édition de « La journée du manuscrit », il publie un troisième roman avec les Éditions du Net.
Natif de Sidi Bel Abbes en Algérie, le 25 mars 1969, l’auteur, qui est architecte naval de formation, a travaillé dans plusieurs domaines, notamment dans l’activité de la pêche et l’aquaculture, il est surtout un passionné de littérature d’histoire, de l’art et du voyage.