
L'amer salé - Expatriés – Migrateurs
« Le départ garde toujours la mémoire de sa déchirure ».
La poésie de Mohamed Mleiel traverse les mers et ouvre les océans. Elle raconte les déchirures et les espoirs, le sel et la mère consolatrice, les terres submergées et les bateaux ivres.
La langue qui la travaille laisse entendre, avec pudeur ou fracas, les bruits de la nuit, les orages et les silences qui nous saisissent.
Un craquement imperceptible.
Glisse sur une mer gelée
La Mer Blanche se déchaîne
La mer Noire est souillée.
La poésie de Mohamed Mleiel parle à notre corps intime, de ce qui nous meut dans ce monde, des frontières qui nous rapetissent et de l’exil qui nous grandit.
Né en Tunisie en 1952. Formateur à la retraite. Diplômé de Lettres et d’Histoire à l’Université de la Sorbonne Nouvelle Paris-III.
Poète et collagiste : Membre de l’Association « Les poètes de l’amitié - Poètes sans Frontières », Membre de l’Association Poétique « Luna Rossa ». Membre du Salon des Poètes de Lyon…
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