Les petits saints
Un adolescent, ses parents, sa grand-mère, des amis… Cela pourrait vite dégénérer en situation de crise et tourner au drame ou à la comédie ! Rien de tout ça chez Damien Dubois Siobud. Par petites touches de tendresse, d’émotion, d’humour et surtout d’amour, il nous peint un tableau des joies, des petits tracas et parfois des grosses peines d’une famille qui prépare Noël. Il nous raconte tous ces moments qui réunissent les êtres et renforcent les liens entre les générations à l’heure d’accueillir l’invitée surprise de ces fêtes de fin d’année.
Sous la forme d’un roman-photo revisité, l’auteur nous offre ici une grande sérénité, et un humour original, peut-être une certaine idée du bonheur.
Ce vingtième livre de Damien siobuD est un beau livre tous âges tous publics, illustré avec intelligence, à recommander pour Noel, ou avant, en tout premier aux jeunes bacheliers, mais pour l’évasion du monde scolaire, au bénéfice de l’esprit de famille.
De ma fin de carrière, j'ai revécu avec douceur une des périodes intenses d'une fin d'adolescence sans trop d'encombres et bien entourée. Un bond en arrière pour y trouver une certaine chaleure mérité.
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Une lecture très inabituelle qui vaut la surprise
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Un style séducteur et pourtant sans sensualité
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Cet auteur dont j'aurai pu voir la déchéance ces quinze dernières années aura été le parfait Jocrisse de LA société, dépouillé toujours de son argent à produire comme un Van Gogh, aujourd'hui ce "petit prince", avec l'espoir d'avoir fait de sa vie quelque-chose qui serve ... Mais à quoi lui aura servi sa vie, une ingrate à laquelle il aura naivement cru jusqu'à la fin, aura toujours fait dans l'ombre pour certain(e)s abusant aveuglément de sa gentillesse, de la mère à la compagne, lui, le talent drogué pour servir dans l'harmonie ce monde, en fait d'une nature sauvage, qu'il avait dans la peau.
Je crois que cet ouvrage c'est son corps pur que dans un dernier élan il offre aux vautours, offrande à la Vie, fidèle au "beau", dont il n'était pas si dupe, fermant les yeux sur la laideur, qu'il ressentait aussi de l'intérieur, refusant de la dévoiler, pour garder son propre esprit, un "petit saint" et jusqu'à la fin, aura veillé à garder sain.
De son Satellite perdu dans la méditerranée, ce prince emporte avec lui ses secrets, comme un Saint Ex... plutôt que finir vendeur d'armes, comme un Raimbaud, ... par ce dernier ouvrage, ainsistant, quatre ans après sa première parution.
Fontaine, je n'abuse pas de "ton ôde à la vie".
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